Je me souviens parfaitement de cette ajour. Ce n’était pas une circonstance mortel. Rien de présent de l’extérieur. Mais en un personnage, des éléments ne tenait plus. Les arguments s’accumulaient, sans suite. Les tristesses tournaient, mais zéro ne s’imposait. J’avais envie de comprendre, ou au moins de regarder un doigt https://devinsfqzl.pointblog.net/lorsque-n-importe-quel-seconde-compte-la-lecture-devra-passer-par-81779321