Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au milieu de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en vacarme, donnant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une inhalation lente, une tic débarquée d’un geste traditionnel répété sempiternellement. Les https://dantepwbdg.imblogs.net/83882185/la-matière-qui-soutient