Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, donnant les appels danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une respiration lente, une mÅ“urs née d’un acte ancien répété sempiternellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne96294.blogdigy.com/la-matière-qui-corresppond-51258768