Le carnet du soldat, désormais noirci de annotations fiévreuses, reposait auprès de la radio. Il avait passé l'obscurité à assembler une faille dans le message reçu, à démonter mentalement n'importe quel élément de la contamination. Le sobriquet évidemment était le sien, inébranlable d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://landenhpvyb.atualblog.com/40161363/la-fente-dans-la-suite