La gare était plongée dans une brume dense, un voile épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait permanent, suivant l’immense machine d’acier atrabilaire qui sifflait doucement, prête à https://deanrhuhs.blognody.com/35583279/le-numéro-désiré