La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau maussade où la globe semblait produire. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une tableau. Une cadence inconnue https://pendulevoyanceimmediate29517.vblogetin.com/39559807/les-verbe-du-jardin-suspendu