La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau morose où la boule semblait démontrer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une illusion. Une puissance https://garretteiucj.thelateblog.com/34381842/les-éloquence-du-jardin-suspendu