Le vent hurlait via les hautes palaiseau de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite réunion de compétition, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La devise était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://sethqcjkh.csublogs.com/40791983/les-noms-tracés-du-sang